
Un bel exemple de promotion de la radio, du moins d'échange entre radio amateur et techniciens se trouve ici. Vous y constaterez que l'avenir de notre activité passe également par mise en relation des établissements scolaires avec nos radio-club, ce que certains ont débuté depuis quelques années dans le 62.
En Allemagne cet échange est monnaie courante : les jeunes germaniques passent un temps non négligeable avec des radio amateur, histoire de s'approprier quelques notions de radio électricité. Mais cela doit-il nous étonner ?
A l'instar des Britanniques, nos cousins Germains n'ont pas la même conception du radio amateurisme que nous : nous avons trop souvent une image péjorative du sens amateur, interprété au sens de bricolage. D'ailleurs, le bricolage est défini comme un travail réalisé avec des outils inadaptés.
Il y a peut-être aussi le fait que notre société se désintéresse du travail, dans le sens où celui-ci justifie aujourd'hui nos besoins quotidiens : une maison, de la nourriture etc.
Pourtant, dans la sémantique du terme amateur, il y a celui "qui aime". On peut également l'opposer au terme "professionnel". Ainsi, l'amateur est un amoureux de sa passion (j'avoue que ça fait un peu pléonasme...) qu'il pratique sans intérêt pécuniaire (à l'inverse du professionnel). Tiens, cette dernière phrase paraît tirée d'un livre de règlementation.....mais lequel ?
A méditer.
73 à tous, 88 à toutes.
Bon trafic et surtout, n'oubliez pas le diplôme des YL ! je vous laisse chercher sur le net.
Emmanuel de F5IDC
Emmanuel
Le: 28/06/13